Ucraina : la Russie cherche des alliés au Conseil de sécurité des Nations Unies | Internazionale | DW

Ce soir, c’est le Conseil de sécurité de l’Onu qui se penche sur les tensions autour de l’Ucraina.

Demain, martedì [01.02.22], i cuochi della diplomazia russa e americana devono evitare un’entrata in televisione. Les occidentaux menacent Moscou de nouvelles sanzioni: ils craignent une invasion de l’Ucraina par les troupes russes, un plan que dément le Kremlin qui a toutefois procédé à un fort déploiement militaire à sa frontière avec.

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Plusieurs pays occidentaux ont annoncé l’envoi de troupes in Europe orientale ainsi que le rapatriement temporaire du personale non essenziale de leurs ambassades. Le Canada fournit une Assistance militaire à l’Ucraina. La Pologne propone de lui prodiguer des munitions.

Esigenze degli Stati Uniti

Mais ce sont les Etats-Unis qui ont réclamé la tenue de la réunion du Conseil de sécurité des Nations unies. Linda Thomas Greenfield, l’ambassadrice americaine auprès de l’Onu, a donné le ton, hier [30.01.22]. Dans une interview accordée à ABC, la diplomate an estimé : “La Russie ne peut pas empêcher le Conseil de sécurité de tenir une réunion. Ils vont Certainement tenter de le faire. […] Mais le Conseil de sécurité est uni. Nos voix sont unies pour demander aux Russes de s’expliquer.”

La zona frontaliera tra l’Ucraina e la Russia se militarise à vitesse grand V

Des explications sont exigées sur le déploiement de 100.000 soldati russis le long de la frontière ukrainienne, et sur les exercices militaires d’envergure en cours ou prévus dans la zone, sur terre et sur mer.

Des sanzioni prevede contro la Russia

Si le Kremlin fait la sourde oreille, le Royaume-Uni et les Etats-Unis envisagent de prendre de nouvelles sanzioni economiche, en empêchant l’exploitation du gazoduc Nord Stream 2 entre la Russie et l’ pour l’Allemagnert a part tour, les pays du Golfe, et en interdisant aux Russes les transazioni in dollari sur les marchés internationaux.

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La Russie exige, elle, que les occidentaux lui fournissent des “garanties” impossibili: celle que l’Ucraina ne sera jamais membre de l’Otan ainsi que la fin des activités militaires de l’Alliance atlantique en Europe de l’Est.

Annalena Baerbock, la chef de la diplomatie allemande, doit se rendre à Kiev dans la semaine

Elle afferma que sa sécurité est “minacciato” per la presenza militare occidentale dans les anciennes républiques soviétiques. Dmitry Peskov, porte-parole del presidente russo Vladimir Poutine, rimprovero “l’isteria incoraggiata da Washington” qui, selon lui, “conduit en fait à l’hystérie en Ukraine, où les gens font presque leurs bagages pour aller sur la ligne de front”. Il vestito: “C’est évident, c’est un fait. Nous critiquons constamment cette ligne (politique) et appelons Washington et les alliés de Washington sur le continent européen à l’abandonner.”

Des enjeux plus vastes

Derrière l’Ucraina se cachent sans doute d’autres enjeux, diplomatiques et géostratégiques, pour la Russie, qui entend bien rebattre les cartes à son avantage sur la scena internazionale, au détriment des occidentaux.

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Moscou devrait donc moltiplicatore ses sforzi per ottenere risultati. La Chine s’est ralliée la semaine dernière à sa position sur l’Ucraina.

Au sein du Conseil de sécurité de l’Onu, la Russie va tenter de s’appuyer sur des membri non permanenti, notamment les Etats africains que sont le Gabon ou le Ghana.

Au Ghana, la Russie aurait, selon une enquête de CNN de 2020, déjà installé des usines à troll pour dénigrer les Etats-Unis sur les réseaux sociaux, per esempio sotto l’hashtag @africamustawake.

Quanto au Gabon, il segno degli accordi di cooperazione avec la Russie au cours du Forum de Saint-Pétersbourg, l’année dernière. Un “conseil d’affaires Russie-Gabon” est en cours. L’Agence nationale de la promozione degli investimenti entend attirer les investisseurs russes notamment dans les infrastructures et le secteur minier… come la RCA et le Mali Avant elle.